“Le possible n’est pas loin du nécessaire.”
Pythagore
Quand vendredi approche, on fait des plans grandioses, ça se bouscule dans la caboche,
On imagine des choses, tracer jusqu’à la mer, concocter des menus,
Filer au marché, choisir du vert, du rouge, quelques roses, la rejoindre, l’emmener
Sous les étoiles en ayant un peu bu.
Le vendredi donc, on est forcément un peu distrait, on sourit tout seul, on poétise : le week-end sera exceptionnel, mémorable, idéal, intense. Tellement de choses à vivre.
Bon sang !
Pas besoin d’aller forcément loin pour ça. Pourvu simplement qu’on ait à portée de bras le nécessaire pour créer du sensationnel.
Le nécessaire ? C’est le weekender IOOS, le nouveau sac français de chez Malfroid.
Nécessaire le weekender, parce que :
- de dimension idéale (50x38x30cm), entre le baise-en-ville, le cabas, le bagage cabine. Ni trop lourd, ni encombrant, pas petit non plus.
- bien pensé avec une grande poche principale ainsi que deux rangements internes. En boule ou plié : tout rentre, même la bouteille de champ’.
- bien construit : dans une toile-bâche en coton épais, solide, inusable avec une sangle en cuir (tannage végétal) qui mûrira, comme vous, en beauté.
- pratique : à la main ou calé sur l’épaule, avec sa double glissière zippée (de la maison suisse Riri : le nec plus ultra de la fermeture ⚡).
- unisexe (ne vous disputez pas, ce sera chacun le sien)
- fabriqué en France (à Lyon !) in-té-gra-le-ment à la main !
- parfait avec une paire de Malfroid aux pieds. Un loafer Newport léger léger pour l’été, un Defender cousu norvégien l’hiver. Allez hop !
En anglais le suffixe -er désigne la personne ou la chose qui fait l’action : a crosser, lover, an enjoyer, an escaper…
Soyez tout cela et plus encore avec votre weekender : c’est l’infini des possibles à portée de main.